Et quand je ne regarde pas en arrière, à m'en donner un torticolis, ou à m'user les yeux par les larmes et la nostalgie du bon vieux temps, je regarde un peu trop loin devant.
Bientôt, je serai seule. A nouveau. Comme avant. Peut-être plus paumée encore.
J'ai peur. Du lendemain, du retour, de l'après, de la solitude, d'en prendre l'habitude.
Arrêtez le temps. Je suis trop bien.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire